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Après avoir fait Math Sup (« année difficile mais géniale »), l’année de Math Spé est très orientée ‘’concours’’ et François Fabre a de moins en moins envie de devenir ingénieur. Non admissible aux concours il ne rempile pas pour une 2è Math Spé (‘’5/2’’ dans le jargon des classes prépas), il part à la fac. Il fait de la physique et s’oriente vers la branche atmosphère, météo. Parallèlement il découvre le théâtre, fait des émissions et des chroniques sur Radio Campus, et co-fonde avec deux amis proches une association : Les TranStyloGraphes. Ensemble, ils produiront feuilletons radiophoniques, spectacles de théâtre et de théâtre de rue.

Il est étudiant et en dehors de la recherche (qui n’a pas le vent en poupe) les possibilités de débouchés professionnels se réduisent. Après l’obtention d’un D.E.A. de Climatologie pendant lequel d’ailleurs il étudia « l’effet de l’intermittence... des nuages sur le rayonnement visible et proche infra-rouge », l’envie est là et s’impose aussi comme un choix de vie : il se lance dans le spectacle vivant. Il évolue alors entre la chanson et le théâtre où il intervient surtout en tant qu’accordéoniste. Il reste proche des sciences, en particulier des mathématiques.

En 2006-2007, c’est le début d’une aventure de scène complètement à part dans tout ce qu’il fait d’autre : il monte un seul en scène sur le système Bibi-binaire de Boby Lapointe : Si le BIBI de BOBI m’était compté, spectacle ludi-comique, écrit à partir des manuscrits originaux et inédits de Boby.

En 2016, il intègre l’association Art Recherche Technologie et Science (A.R.T.S.) créée par Pierre Bonton qu’il connaît de longue date puisque c’est avec lui et Théâtre&Sciences qu’il découvrit et commença le théâtre, à l’université.

Au sein d’ A.R.T.S. il développe différents projets et devient acteur de la culture scientifique.

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